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allez, on l’ose cette année encore : à plus dans l’bus ! c’est comment magic bus 2018 ? votre avis nous interesse ! le magic bus 2018 en direct sur la page facebook ! after movie de la 17èmé édition en 2018 ! du 17 au 19 mai 2018, le 17ème festival magic bus ouvrira ses portes ! magic bus fête cette année ses 17 ans! pour 2018 , on ne change pas une recette qui gagne : trois jours de concerts du 17 au 19 mai 2018 , une scène en plein air , des artistes talentueux, des animations déjantées, des décorations décalées et toujours dans une ambiance conviviale et festive . le jeudi soir, la scène locale sera bien représentée à l’ampérage. puis, rendez-vous à l’esplanade le 18 et 19 mai avec une ambiance chaleureuse et dansante pour le vendredi et des rythmes hip-hop électro pour le samedi ! prêt au départ ? allez, on l’ose cette année encore : à plus dans l’bus ! tarifs jeudi pass 2 jours vendredi samedi points de vente • fnac / francebillet / digitick / la bifurk acheter vos billets avec la carte pass région dans nos locaux à la bifurk : 2, rue gustave flaubert – grenoble. tel : 04 58 00 11 37 du lundi au vendredi de 10h à 12h30 et 14h à 18h informations entrée gratuite pour les enfants de moins de 10 ans, les billets pour les enfants sont à retirer le soir du concert à la billetterie. les enfants de moins de 16 ans doivent être accompagnés d’un adulte responsable (une pièce d’identité peut être demandé à la billetterie). site entièrement accessible aux personnes à mobilité réduite. * frais de location en sus (suivant réseaux de billetterie). le tarif early bird est un tarif réduit en quantité limitée, accessible à tous. billetterie en ligne pour la soirée du jeudi à l’ampérage, cliquer ici l’amperage 20h30 je réserve ! deyosan electro world d’origine grenobloise, deyosan est un trio qui mélange musiques du monde et musiques électroniques. aux sons de leurs instruments, les musiciens nous invitent, à leur manière, à un voyage métissé au-delà des frontières, tout en laissant place aux songes et à l’imaginaire. la clarinette, au teint boisé, aime allier sonorités orientales avec distorsion et autres pédales d’effets. quand le sitar, lui, nous évoque l’inde et ses mélodies envoûtantes. les machines et la batterie s’accordent alors à ne faire plus qu’un, orchestrant le tout tantôt sur des accents tribaux, tantôt sur des rythmiques dub. vous laisserez vous captiver par ce voyage aux multiples horizons ? no tearz indie cette nuit d’avril 2016, wanda et jerem’, autour d’une bière, forment officiellement le duo no tearz. lui a quelques riffs de basse et de guitare sous les doigts, elle de nombreux mots en travers de la gorge. des élans poétiques qui ne demandent qu’à sortir. un an plus tard paraît déjà le premier ep du groupe, au titre évocateur : « vomit ». un déferlement de textes angoissés, bruts, intimes aux accents post-punk, qui donne envie à no tearz d’aller plus loin. quelques mois plus tard, avec « si tu savais », le groupe se renouvelle déjà : texte en français, batterie affirmée aux influences trip-hop, et une nouvelle recrue, hugo, au clavier. le – désormais – trio n’a pas peur de déconcerter. « no regrets, no tears », chante souvent wanda. comme une devise. spaarks synth pop comme fasciné par la nuit, le duo spaarks parcourt les ambiances nocturnes au fil de son premier ep “into the night”. se libérer, voyager, espérer, pour finalement mieux s’évader : into the night aborde ces thèmes avec une émotion sincère et une énergie débordante. lieu parfait de rencontre entre une pop mélodique et une musique électronique aux synthétiseurs à la fois riches et colorés, l’univers de spaarks est la promesse d’un voyage sonore et visuel. esplanade 19h je réserve ! sergent garcia salsamuffin (23h30) cela va faire 20 ans que l’instigateur de la salsamuffin, novateur cocktail des deux musiques majeures issues des caraïbes –le reggae et la salsa, ce faisant il annonçait d’autres mélanges de ce type (reggaeton en tête), enflamment l’europe et l’amérique, du nord au sud; force est de reconnaître que l’œuvre de bruno « sergent » garcia dépasse largement les limites d’une recette, aussi savoureuse et originale soit elle. son 7ème album de studio (on ne compte pas les best of ou les ep) « contre vents et marées » a connu un franc succès et bruno sergent garcia nous annonce une tournée des 20 ans qui passera par cet album et aussi les 6 antérieurs qui ont été couronnés d’un succès international. “le fait d’avoir tourné pendant ces dernières années, aussi bien en grande formation qu’en soundsystem, m’a permis de jouer et voyager sur tous les continents. et constater à quel point il existait une musique urbaine, un son des grandes villes qui, même s’il s’appuie sur des traditions locales différentes, contribue à une onde globale et universelle. ..” bonga bonga © n’krumah lawson daku 2016 world semba/ angola (22h00) avec son derner album recados de fora (messages d’ailleurs) bonga, raconte un parcours fascinant à travers plusieurs époques et plusieurs continents, et toujours avec l’océan atlantique en fil d’ariane. le chanteur, auteur et compositeur, revient pêle-mêle sur sa jeunesse, sa prise de conscience aigüe à l’égard de la colonisation portugaise, son initiation à la musique par son père, son amour pour le semba, symbole de l’identité nationale angolaise, et dont le kizomba, cette musique prisée par les jeunes générations n’est qu’une version modernisée. car s’il est l’un des derniers géants de la musique africaine post-coloniale, on peut dire qu’aujourd’hui bonga incarne le semba. bonga est le semba ! – à l’image de la chanson tonokenu, dans la pure tradition de ses racines. kumbia boruka cumbia hybride (20h30) suite à plusieurs tours du monde (aux percussions) aux cotés des géants de la cumbia comme le mexicain celso pina, hernan cortes fonde kumbia boruka. tout comme celso pina il est originaire de monterrey, le berceau de la cumbia moderne. hernan prend aujourd’hui le devant de la scène à l’accordéon et au chant avec son groupe, accompagné du chanteur bob sikou. le répertoire de kumbia boruka est un alliage savant de compostions et de classiques de la cumbia colombienne des sixties. celle qui se danse dans les quartiers populaires de monterrey, la mégalopole mexicaine dans laquelle a grandit hernan. le tout mijoté a la sauce d’hernan et bob qui se sont connus dans le milieu reggae et qui avaient depuis longtemps envie de marier leurs influences. après tout la jamaïque n’est qu’à quelques encablures